Du rêve à la réalité

Ou l’histoire qui raconte comment je me suis retrouvé avec un Bullitt en plein froid de janvier.

Enfant j’ai toujours pris plaisir à transporter sur mon vélo des chargements surdimensionnés. Comme une sorte de défi. Depuis quelques temps j’ai découvert les vélos cargos et quand j’ai vu le Bullitt j’ai compris que c’était pour moi le chaînon manquant. Il ne restait plus qu’à savoir quand et comment j’allais concrétiser ce qui n’était encore qu’un rêve.

J’ai d’abord commencé à amasser mes économies.

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Pourquoi j’ai choisi le Bullitt ?

D’abord les longtails

Pendant quelques mois j’ai visité des boutiques de vélo, essayé différents modèles pour me faire une tête et valider que mon choix de modèle était le bon. Par exemple j’ai essayé un GSD de la compagnie Tern pendant deux semaines grâce à LocoMotion. Il s’agit d’un long tail, ce qui signifie que la zone cargo se trouve à l’arrière au-dessus des roues. J’ai trouvé le vélo plutôt instable avec la charge si haute. De plus je n’aimais pas devoir me retourner fréquemment pour voir si les enfants se tiennent bien. Il m’est même arrivé de faire tomber le vélo sur le côté en embarquant le plus vieux de 6 ans.

Ensuite les bakfiets

Cette expérience m’a permis de confirmer que je ne veux pas un long tail mais plutôt un bakfiets, soit une boîte à l’avant. C’est le design classique hollandais. Dans cette famille il y a les biporteurs et les triporteurs. J’ai vite écarté les triporteurs car je voulais un vélo étroit facile à manoeuvrer sur les pistes cyclables ou dans le rue avec les voitures. Dans les biporteurs disponibles on trouve plusieurs marques (Bullitt, Urban arrow, bakfiets et autres).

Mais quand j’ai su qu’il restait un cadre Clockwork Orange chez Dumoulin je n’ai pas pu attendre. Aujourd’hui est le début d’une nouvelle aventure.

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Mon fils n’a pas tardé à vouloir essayer le nouveau véhicule familial.

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